Palmarès 2025

Film court national

Découvrez qui sont les lauréats nationaux du concours de création du film court 2025 !

1ER PRIX NATIONAL – 2000 €

Perrine GUICHARD

étudiante en 4e année Art mention Écran à l’École Supérieure d’Art et de Design TALM à Angers (Crous Nantes)

Amalia apprend que la maladie de sa mère s’est aggravée. Le temps presse, mais Amalia est terrifiée à l’idée d’affronter les derniers jours de sa mère. Ce soir, sa mère décèdera. Il est important de faire les bons choix pour éviter les regrets, mais il est difficile d’être rationnel face à l’urgence et à la peur. En parcourant les heures sourdes est un film d’animation 2D réalisé seule.

2E PRIX NATIONAL – 1000 €

Léo SIERRA

étudiant en 1ere année à l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole (Crous Clermont Auvergne)

Silence

Ce court-métrage s’inscrit dans le thème du concours, Courage, à travers la représentation d’une famille dysfonctionnel, et caricaturée. Courage devient alors ici un message adressé au spectateur.ices, qui peuvent potentiellement se reconnaitre dans les personnages. Certains personnages eux mêmes sont porteurs de ce courage. Ce film évoque des sujets sensibles, dépression, inceste, viol. L’histoire prend place autour d’un repas de famille, 6 membres de celle-ci y sont présent, dans une atmosphère pesante et sans paroles. Représentés à travers des masques aux traits exagérés et horrifiques, les personnages sont chacun isolé des autres, aucun plan ne présente plus d’un personnage à l’écran et chaque personnage possède son propre décors le représentant. Sont présent la mère, le père, le premier fils, le deuxième fils, la fille et le troisième fils. Le dernier plan diffère par son cadrage, le son et le mouvement, il change le point de vue qui passe de l’intérieur de la bulle familiale, à un point de vue extérieur. Révélant ainsi la vrai nature de la situation. J’ai souhaité à travers ce film, exprimer ma pratique artistique à travers un sujet qui compte pour moi. J’ai investi de nombreux médiums, j’ai confectionné les masques et les mains en papier maché, j’ai réalisé des peintures pour le décors, travaillé le bruitage et l’image. J’ai articulé mon travail autour de la famille comme entité fragmentée, et l’absence de communication comme point centrale de l’œuvre. Cela me permet d’évoquer divers sujets comme l’égoïsme, la dépression ou l’inceste. J’ai beaucoup travaillé la symbolique des éléments que je montre à l’image, j’ai essayé de penser au moindre détail qui apparait, et ne rien laisser au hasard. Tout est pensé et calculé dans mon travail afin d’offrir la meilleure représentation de mon idée. J’espère que mon film retiendra votre attention, qu’elle vous transmettra des émotions fortes, qu’elle reflètera mon travail sur 7 mois. Léo Sierra.

3E PRIX NATIONAL – 500 €

Emmanuel ROCH

étudiant en M1 ArTeC : La Création comme activité de recherche à Paris 8 (Crous Créteil)

Helmet Hug

Helmet Hug est un film dont l’enjeu a été de questionner les représentations communes autour du thème des chevaliers et d’essayer de laisser émerger un sentiment poétique des images. Ce film, à la fois documentaire et expérimental, est parti d’une image mentale : deux chevaliers se faisant un câlin sur un stade de foot. Cette image en alors inspiré d’autres jusqu’à faire ce film, avec ce petit garçon de onze ans qui raconte simplement, sous celles-ci, son rapport aux chevaliers notamment à travers les jeux vidéos. Sur ses mots, le film explore des dimensions poétiques par des situations visuelles incongrues et suggestives, comme certaines postures des chevaliers marquées par l’ennui et l’attente proposant ainsi une sorte de mise image critique et transhistorique de la masculinité – tordant ainsi les valeurs habituellement associées à ces derniers. La représentation du virtuel, à travers les procédés du scan 3D et du point cloud, fait écho au récit du petit garçon sur le jeu vidéo, ce qui interroge la frontière entre réalité et virtualité dans l’assignation de ces valeurs de force, de courage, de combat que l’on trouve dans ces jeux. La voix documentaire du petit garçon qui dit qu’il “aimerait bien être un chevalier”, associée aux images de fiction jouent sur le même registre : les images que nous voyons nous construisent. Une certaine douceur poétique doit émerger des images, ce que souligne l’étirement des plans dans le temps par l’ambiance sonore. L’ambiance sonore contribue à créer cette atmosphère douce, avec laquelle contraste, dans une sorte de hors champ permanent, la vision traditionnelle des chevaliers et du courage, que la voix-off du jeune garçon convoque.

BD

Découvrez qui sont les lauréats régionaux du concours de création de la BD 2025 !

1ER PRIX RÉGIONAL – 500 €

Raphaël VICAT

étudiant en 1e année DNMADE Cinéma d’animation au Lycée René-Descartes à Cournon d’Auvergne

Le grand saut

Support : papier

Techniques : Crayon de couleur

 

Pour cette bande dessinée, j’ai voulu traiter le thème du courage de façon personnelle. Plutôt que de le représenter par un exploit physique, comme un saut spectaculaire depuis un rocher, j’ai préféré montrer une forme de courage plus discrète : celle qui consiste à résister à la pression des autres et à rester fidèle à ce qu’on ressent vraiment.

L’histoire suit Nathan, un jeune garçon en vacances, entouré d’un groupe d’enfants qui sautent d’une falaise. Contrairement aux autres, il n’en a pas envie. Mais un garçon du groupe, un peu prétentieux, essaie de le convaincre en lui disant que ne pas sauter, c’est être faible, qu’un “vrai homme” n’aurait pas peur.

Avec cette histoire, j’ai aussi voulu parler de ces idées qu’on impose souvent aux garçons dès qu’ils sont petits comme le fait qu’un “vrai homme” ne doit pas avoir peur, qu’il doit toujours prouver quelque chose. J’avais envie de montrer que le courage, ça peut aussi être tout simplement le fait de rester soi-même, de ne pas suivre le groupe juste pour rentrer dans une case.

2E PRIX RÉGIONAL – 300 €

Nicolas MARCHAND BARILLÉ

étudiant en 2e année Arts du spectacle à l’UCA

Mauvais rêve

Support : numérique

Techniques : Pinceau Aquarelle numérique

 

Pour cette bande dessinée, j’ai voulu parler du courage à travers une situation simple mais parlante et par laquelle nous sommes tous passés : une enfant qui décide, pour la première fois, de dormir sans sa veilleuse.

Ce petit geste marque un vrai pas en avant pour elle. Durant son sommeil, elle fait un cauchemar. L’origine de ce rêve vient des paroles de sa mère qui, en voulant lui faire une blague, lui a fait peur sans le souhaiter. C’est alors une manière d’aussi traiter du courage que traverse un enfant durant son parcours, face au monde qui l’entoure et à la maladresse éventuelle des adultes. Plutôt que de fuir ou de se laisser submerger, mon héroïne se met à hurler face à ce cauchemar, marquant ainsi son passage vers une nouvelle étape de maturité et une force d’esprit, ou de témérité, que certains enfants ont et qui les font paraître courageux. À la fin, sa mère la rejoint après l’avoir entendue crier. Ce n’est pas une “victoire” effaçée par l’arrivée d’un adulte, mais un rappel qu’on peut être courageux tout en ayant besoin de réconfort. Le courage ne veut pas dire être seul.

Avec cette histoire, je voulais montrer que le courage peut aussi exister dans les petites choses du quotidien. Ce sont parfois ces moments discrets, intérieurs, qui nous font vraiment avancer et nous rendent fier de nous même ou des autres.

Graphiquement, j’ai choisi le noir et blanc pour jouer avec les ombres, et évoquer cette ambiance sombre et inquiétante que les enfants ressentent de la nuit. Combien de fois nous sommes-nous apeurés au moment du couché, en imaginant des formes étranges à travers les ombres et les formes de la pièce. Ne faut-il pas du courage pour se convaincre soi même que ces étranges formes n’existent pas réellement ?

3E PRIX RÉGIONAL – 200 €

Éléa RAMBERT

étudiante en M1 Mondes contemporains à l’UCA

Comment attraper le vent

Support : numérique

 

Il existe des peurs qui nous bloquent, et des élans qui nous libèrent. Ninlil, petite fée qui tient son nom de “la Dame du vent” mésopotamienne, possédant des ailes magnifiques mais prisonnière de son vertige, incarne la tension entre l’attachement rassurant à l’éphémère et l’appel de l’inconnu. Son histoire, à mi-chemin entre conte poétique et réflexion sur le courage, met en lumière ce moment fragile où la vie nous demande de lâcher prise pour découvrir que nous avions des ailes depuis toujours.

Ici, le thème du courage n’est pas celui des héros flamboyants : c’est un courage discret et miraculeux, un courage qui naît dans le regard d’une fée sur un petit papillon sortant de son cocon et s’envolant dans le ciel. La métamorphose de Ninlil se joue dans cet instant où la peur cesse de la paralyser, et devient le tremplin de son envol.

Cette histoire se veut également un dialogue entre terre et ciel : la fleur mourante de Ninlil est un contraste mélancolique avec l’immensité des nuages où migrent les fées. Le papillon, fragile et déterminé, sert de miroir à Ninlil, en lui rappelant que toute renaissance exige d’abord un abandon. Inspirée par autrui, Ninlil va de l’avant et saute dans le vide de l’inconnu.

Accompagnée de ses ailes tremblantes avant de sauter, Ninlil symbolise un fait essentiel : le courage n’est pas toujours le fait de vaincre sa peur, mais plutôt d’avancer avec elle. Son voyage vers les nuages est une invitation à croire qu’il suffit parfois de s’élancer pour que la vie nous porte et nous fasse découvrir des choses insoupçonnées.

Cette bande dessinée se veut être une ôde à ceux qui osent essayer, même en tremblant.

Photo

Découvrez qui sont les lauréats régionaux du concours de création de la photo 2025 !
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1ER PRIX RÉGIONAL – 500 €

Moncef KIDDI

étudiant en 3e année de Physique à l’École Universitaire Physique, Ingénierie à l’Université Clermont Auvergne

Saut de liberté

Cette photo a été prise à Essaouira, lors de ma dernière visite au Maroc, mon pays natal.
J’y ai vu un jeune garçon s’élancer depuis les remparts, dans un geste fou et pur : un saut vers l’océan. Derrière lui, un garde tente de l’en empêcher.
À mes yeux, ce saut incarne un acte de courage brut, presque désespéré celui de se libérer de toutes les prises : des règles, des murs, du regard des adultes, de la peur.
Un instant de liberté totale, aussi dangereux qu’audacieux, où l’enfant prend son destin en main, le temps d’un vol.
Cette image parle de la jeunesse marocaine. De son énergie, de son besoin de s’exprimer, de fuir les limites qu’on lui impose, d’une manière je me retrouve dans ce saut vers l’inconnu, vers un autre pays plutôt que l’ocean.
Elle me touche profondément, car elle raconte aussi mon histoire, et celle de beaucoup d’autres.

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2E PRIX RÉGIONAL – 300 €

Laélien JORGE

étudiant en 3e année à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand,

Héraclès

Le dragon souffle, l’air s’alourdit. Une chaleur dense s’impose, semblant émaner de cette bête fantastique. Fuir semblait être la solution. Mais l’enfant, se remémorant les histoires qui l’ont bercé, ne recule pas. Héraclès ne fuyait pas non plus, il faisait face.
Quand les autres enfants de son âge grandirent avec l’idée que le courage est l’acte de bravoure, l’enfant, lui, prit conscience du véritable sens de ce mot. Face à cette présence immémoriale, le courage ne semblait qu’être antonyme de l’affrontement. Alors l’enfant tendit sa main, laissant le souffle de l’animal lui caresser la paume. Le dragon baissa la tête, cachant ses crocs et refermant ses paupières. En cet instant fantastique, l’enfant, ayant fait preuve d’une grande sagesse, remercia Héraclès de lui avoir permis de se rendre compte d’une chose : le courage ne représente pas systématiquement la manière de passer à l’acte, le courage c’est prendre la bonne décision au moment où l’indécision mène à l’irréparable.

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3E PRIX RÉGIONAL – 200 €

Lensy MATHURIN

étudiante en 3e année de Licence Biologie cellulaire/Physiologie à l’UFR Biologie de l’Université Clermont Auvergne,

Scars

Les combats d’hier, les épreuves traversées, les souffrances endurées ne sont plus que murmures du passé. Je n’ai peur de rien.
Le courage et la volonté transforment les plaies en empreintes, l’histoire en souvenir.
À travers ce cliché, je veux interroger l’ombre des blessures invisibles, celles que chacun porte en silence et même inconsciemment. Elles sculptent l’âme, façonnent le devenir. Un jour, sans bruit, la douleur s’efface, ne laissant derrière elle qu’une cicatrice, témoin silencieux et expressif d’une lutte. Loin d’être une faiblesse, elle est force et beauté, trace indélébile d’un être qui a survécu, et grandi.
Les marques sont des poèmes qui racontent l’histoire d’un être resté debout, porté par son courage. Car au-delà des souffrances, elles sont la preuve que rien ne peut nous briser et que le temps peut les réparer.

Film court régional

Découvrez qui sont les lauréats régionaux du concours de création du film court 2025 !

1ER PRIX RÉGIONAL – 500 €

Léo SIERRA

étudiant en 1ere année à l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole

Silence

Ce court-métrage s’inscrit dans le thème du concours, Courage, à travers la représentation d’une famille dysfonctionnel, et caricaturée. Courage devient alors ici un message adressé au spectateur.ices, qui peuvent potentiellement se reconnaitre dans les personnages. Certains personnages eux mêmes sont porteurs de ce courage. Ce film évoque des sujets sensibles, dépression, inceste, viol. L’histoire prend place autour d’un repas de famille, 6 membres de celle-ci y sont présent, dans une atmosphère pesante et sans paroles. Représentés à travers des masques aux traits exagérés et horrifiques, les personnages sont chacun isolé des autres, aucun plan ne présente plus d’un personnage à l’écran et chaque personnage possède son propre décors le représentant. Sont présent la mère, le père, le premier fils, le deuxième fils, la fille et le troisième fils. Le dernier plan diffère par son cadrage, le son et le mouvement, il change le point de vue qui passe de l’intérieur de la bulle familiale, à un point de vue extérieur. Révélant ainsi la vrai nature de la situation. J’ai souhaité à travers ce film, exprimer ma pratique artistique à travers un sujet qui compte pour moi. J’ai investi de nombreux médiums, j’ai confectionné les masques et les mains en papier maché, j’ai réalisé des peintures pour le décors, travaillé le bruitage et l’image. J’ai articulé mon travail autour de la famille comme entité fragmentée, et l’absence de communication comme point centrale de l’œuvre. Cela me permet d’évoquer divers sujets comme l’égoïsme, la dépression ou l’inceste. J’ai beaucoup travaillé la symbolique des éléments que je montre à l’image, j’ai essayé de penser au moindre détail qui apparait, et ne rien laisser au hasard. Tout est pensé et calculé dans mon travail afin d’offrir la meilleure représentation de mon idée. J’espère que mon film retiendra votre attention, qu’elle vous transmettra des émotions fortes, qu’elle reflètera mon travail sur 7 mois. Léo Sierra.

2E PRIX RÉGIONAL – 300 €

Arnaud BABAYOU

étudiant en 2e année d’Histoire de l’Art à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne

Scoperythrose

Scoperythrose se présente comme un court-métrage intimiste qui explore, avec une sensibilité singulière, le courage nécessaire pour affronter l’inconnu et surmonter ses peurs, notamment lorsqu’elles concernent la santé physique et mentale. Le film raconte l’histoire d’une jeune femme qui se retrouve avec un œil rouge, un signe à la fois troublant et mystérieux qui éveille en elle un sentiment d’angoisse latent. Ce symptôme la pousse à entreprendre un chemin semé d’appréhensions vers un rendez-vous d’ophtalmologie, marquant ainsi le moment où l’effroi cède progressivement la place à la volonté de comprendre et de guérir. Scoperythrose est une exploration visuelle du courage face aux peurs en mêlant animation 2D et prise de vue réelle pour créer un langage visuel hybride et expressif. Cette dualité stylistique traduit la tension entre la réalité tangible et l’univers intérieur, riche en angoisses souvent refoulées. Cette combinaison permet de matérialiser l’univers tangible du quotidien et l’immensité de l’intérieur, où s’entassent doutes et angoisses. Les séquences animées offrent une métamorphose visuelle des émotions du personnage, transformant ses craintes en créatures énigmatiques qui semblent incarner tant ses vulnérabilités intimes que le défi de les surmonter. Ce choix esthétique vise à donner vie à l’idée que l’appréhension de l’inconnu est le prélude d’un chemin de transformation, où chaque pas, aussi hésitant soit-il, révèle une force insoupçonnée. Au cœur du récit, l’hommage est rendu à ceux qui, malgré la peur et la douleur, osent affronter leurs démons pour aller mieux. Le film montre que ce que l’on perçoit peut dissimuler un malaise plus profond que la simple apparence médicale. Ainsi, il valorise le courage d’accepter ses vulnérabilités et de transformer l’inattendu en renaissance intérieure, tout en soulignant l’importance d’aborder sincèrement les enjeux de la santé mentale.

3E PRIX RÉGIONAL – 200 €

Arthur Belin, étudiant en 1ère année Arts du spectacle à l’Université Clermont Auvergne

Courage

Notre court-métrage, sobrement intitulé Courage, propose une approche décalée et humoristique du thème imposé. Le film suit une jeune fille, méticuleuse, presque militaire dans sa préparation d’un mystérieux événement. Elle établit un plan, répète devant un miroir, chronomètre ses gestes. Tout semble indiquer qu’elle se prépare à une mission cruciale. Et pourtant, la chute nous révèle qu’elle s’apprête à aller chercher du pain à la boulangerie. Derrière cette situation absurde, nous avons voulu illustrer une idée simple : le courage n’est pas réservé aux grandes causes ou aux actes héroïques. Il existe aussi dans les petites choses du quotidien. Pour certaines personnes, franchir le seuil de chez soi, affronter un regard, demander une baguette, c’est déjà un combat. Nous avons voulu soutenir, avec humour et tendresse, ces formes de courage souvent invisibles. Nous avons opté pour un ton léger et une mise en scène minimaliste afin de renforcer le décalage comique. Le huis clos et la simplicité de l’action nous ont poussés à chercher des idées de cadrages plus créatifs, en jouant avec le rythme, les raccords et les détails du quotidien.

Nouvelle

Découvrez qui sont les lauréats du concours de création de la nouvelle 2025 !
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1er prix régional · 500 €

Léa BOURDASSOL

étudiante en Master 2 Littératures et Société à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne

Pour sa nouvelle intitulée Une leçon de courage

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2e prix régional · 300 €

Élisa BRISSAY

étudiante en 4e année à l’IFMK de Vichy de l’Université Clermont Auvergne

Pour sa nouvelle intitulée Marguerites

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3e prix régional · 200 €

Lùthien Tinùviel DEMANGEL

étudiante en 3e année de licence Langues littérature et civilisation parcours Anglais à l’Université Clermont Auvergne

Pour sa nouvelle intitulée Radio Pluie

Lire sa nouvelle

Pulsations

Découvrez qui sont les lauréats du tremplin régional Pulsations 2025 !
Après une finale sur la scène de la Coopérative de Mai, le jeudi 13 mars 2025, 5 candidats se sont présentés devant le public et le jury pour tenter de remporter l’un des 3 prix Pulsations.
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1er prix régional Pulsations · 500 €

Pondérale

Formé en septembre 2023 à Clermont-Ferrand, Pondérale est un trio punk mené par Lilou (guitare), Paloma (basse) et Marin (batterie). Inspirés par le punk à la française et le skate punk des années 80 (D.I., T.S.O.L.), leurs morceaux mêlent textes humoristiques et critiques sociales, dénonçant ou simplement rigolant des préoccupations du quotidien.  En 2023/2024, ils ont enflammé plus d’une dizaine de concerts dans les lieux underground de Clermont et les événements étudiants. Plus qu’un groupe, Pondérale incarne aussi un engagement militant et jeune, avec des t-shirts sérigraphiés à la casserole et des stickers un peu partout dans la ville.

Découvrir Pondérale
Dragonfly me to the moon 4

2e prix régional Pulsations · 300 € + Prix Europavox Campus

Sim’s Le Petit Prince

Sim’s Le Petit Prince, c’est un artiste avec un univers profond et une imagination sans limite. S’inspirant de l’œuvre mythique d’Antoine de Saint-Exupéry, il bâtit sa propre direction artistique et son storytelling autour du « Petit Prince », alliant poésie, émotion et instrumentales touchantes. Dans ses EP, chaque planète qu’il explore représente un style musical unique, nous embarquant dans un voyage interstellaire de rêves, d’amour, de fraternité, et de souffrance. Sa musique introspective parle à chacun de nous, éveillant l’enfant en nous à travers des émotions universelles.

Découvrir Sim's Le Petit Prince
Dragonfly me to the moon

3e prix régional Pulsations · 200 €

Narimelle

Narimelle, pianiste et guitariste autodidacte, compose depuis toujours et trouve son épanouissement dans la création. Influencée par la puissance des chants traditionnels bulgares et scandinaves, elle forge une identité musicale unique portée par sa voix profonde et émotive. Depuis 2016, elle partage ses compositions, dont « Lover’s Grave », hommage à sa grand-mère, et plus récemment  »Celestial Love », dédiée à son père. Son rêve de devenir chanteuse, né à 14 ans, l’accompagne aujourd’hui avec une intensité nouvelle, guidé par l’ambition d’une carrière d’auteure-compositrice-interprète et nourri par une sensibilité inépuisable, source et souffle de ses créations.

Découvrir Narimelle
Dragonfly me to the moon 1

Prix du public Europavox Campus · 300 €

The Dukes

The Dukes, c’est Louise-Eva et Théo, deux jeunes passionnés de musique qui, en 2022, fusionnent leurs talents pour créer un projet pop-électro unique. Inspirés par Daft Punk, Muddy Monk, Pépite et plus, ils sculptent un univers où émotion et mélodie se mêlent à des sonorités électro envoûtantes. Après leur premier album de reprises « Paradis » fin 2023, qui réinvente des classiques français avec une touche moderne, le duo se lance désormais dans l’écriture et la composition de morceaux originaux. La voix douce de Louise-Eva et les productions de Théo prennent de plus en plus forme pour une aventure musicale personnelle et intimiste.

Découvrir The Dukes

Envol

Découvrez qui sont les lauréats du tremplin régional Envol 2025 !
Après une finale dans la salle Georges-Guillot de la résidence Phillipe-Lebon, ce mardi 18 mars 2025, 7 candidats se sont présentés devant le public et le jury pour tenter de remporter l’un des 3 prix Envol.
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1er prix régional Envol · 500 €

Avant la fin du songe de Courant d’air

Avant la fin du songe… Le monde éphémère, illusoire et inaccessible du rêve.

Nous nous engouffrons dans les mirages, les volutes de pensées et d’idées incohérentes, de débuts sans fin ou de fins sans début, une image qui nous échappe…

Sommes-nous en train de rêver, ou faisons-nous partie du rêve d’un autre ? Des histoires ratatinées en quelques minutes… Car demain il sera trop tard.

Le réveil inéluctable s’approche, la tension monte, que faire ? Le noir s’évapore et le nuage gémit, c’est beau…

J’entends le frémissement d’une nouvelle vie qui émerge… Et si le monde avait encore besoin de rêver ?

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2e prix régional Envol · 300 €

Fusion des singularités de Yvan et Cassandre

Cette chorégraphie propose une exploration des contrastes dans l’expression corporelle à travers la danse. En s’appuyant sur nos approches distinctes du mouvement, nous nous sommes questionnés sur comment les différences peuvent enrichir une création artistique et nourrir l’interprétation personnelle.

Dans un monde où l’uniformité est souvent valorisée, cet création célèbre la diversité et l’individualité dans l’art. Notre démarche repose sur l’idée que c’est dans la rencontre des différences que naît une richesse unique. L’objectif est d’éveiller une sensibilité artistique tout en explorant l’idée de complémentarité et permet de découvrir une autre manière de se connecter à leur corps et à autrui.

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3e prix régional Envol · 200 €

Beautiful things de M&Ms

Avec mon partenaire, nous nous sommes challengés pour réunir notre univers de danse Urbaine sur une musique populaire commerciale tout en traitant d’un sujet qui nous tenait à coeur tel que les traditions.

En effet, issus d’Afrique et de pays différents, mon partenaire et moi avons constatés les tabous sur les relations interéthniques.

Souvent, les familles rejettent ces unions ancrées dans des traditions qui les interdisent, brisant alors de belles histoires d’amour naissantes.

Nous voulions alors traiter de ce sujet et des difficultés pour un couple de s’assumer malgré les pressions familiales.

Et c’est à travers cette proposition chorégraphique et l’usage de notre style de danse Dancehall Smooth que nous souhaitions retransmettre le début d’une relation amoureuse avec ses moments de bonheur doux et légers.

Mais c’est aussi à travers des moments théâtralisés et des mouvements de danse dynamiques que nous voulions transmettre au public la fragilité d’un couple condamné par la fatalité d’être mal perçu, à moins que sa relation soit interethnique.

Enfin, nous laissons le choix au public de décider si l’histoire se termine négativement ou non. Mais nous pensons que, malgré les obstacles, c’est toujours l’amour qui demeure le plus fort.

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Coup de coeur du jury

C.T Vibes

Je fais de la danse depuis l’âge de 6 ans, la danse a toujours été au coeur de ma vie. J’ai commencé grâce a la kpop en apprenant des chorégraphies qui touchaient à tous les styles de danse. Au fil des années, ma curiosité m’a poussée a m’inscrire à une école de danse où j’ai pu apprendre la danse classique, la danse africaine, le hip hop et quelques pas de break dance. Je me suis rendu compte qu’une grande partie de mon identité est liée à la danse.

Actuellement, je poursuis ma passion en apprenant et créant des chorégraphies pendant mon temps libre et je fais partie d’un groupe de danse de Kpop nommé Redshift. Les projets de danses et tournages réguliers dans ce groupe m’ont permis d’améliorer mes techniques, mes expressions faciaux mais aussi mon énergie et mon endurance puisque nous avons participé à des compétitions où nous avons du danser pendant 13 min sans s’arrêter. Mon amour pour la danse se traduit principalement par la participation active à des événements/concours devant des publics dans des cadres différents. J’ai de nombreux projets à venir liée notamment à mon parcours académique mais je souhaite continuer la danse et à en vivre. Je souhaite intégrer une école de danse à côté de mes études d’architecture qui pourrait m’accepter afin d’obtenir des compétences plus importantes et participer à des compétitions régionales et internationales. Je veux toujours continuer à danser même si ces études me demandent énormément de temps. Cette passion continue de me motiver chaque jour, et je suis impatiente de découvrir les nouvelles opportunités et défis qui se présenteront sur mon chemin artistique.