Film court national
Thème : Espoirs
1E PRIX NATIONAL – 2000 €
Jean-Baptiste Timmerman
étudiant en Master 1 Cinéma et audiovisuel à l’Université de Picardie Jules Verne (Crous Amiens-Picardie)
Piqûre de rappel – En cours d’exploitation
Entre potes, on a voulu décrire une situation absolument banale qui devient presque chaotique. Chaque personnage s’exprime à sa manière, chaque personne défend un point de vue sans avoir peur de balancer ses arguments à la face de l’autre. C’est un huit clos dans lequel on sent la proximité entre les personnages, qu’elle soit physique ou dans les échanges qui s’enchaînent en pass pass.
2E PRIX NATIONAL – 1000 €
Idrisse AHAMADA MADI
étudiant en Master 2 à l’École supérieure d’art de La Réunion (Crous La Réunion)
Mvoulana – En cours d’exploitation
Mbadjini en Grande Comores. Un homme nous mène vers une mystérieuse cabane en paille sur une colline loin de son village, dans laquelle il a accompli un pacte il y a 30 ans. Ce court-métrage explore par à d’un conte que j’ai imaginé, l’inconscient collectif de la région de Mbadjini, imprégnée de croyances et de légendes surnaturelles.
3E PRIX NATIONAL – 500 €
Erell GARON et Amin TOUATI
étudiants en 3MADE3 DN des Métiers d’art et du design au lycée Descartes de Cournon d’Auvergne (Crous Clermont Auvergne)
L’univers m’a offert une fleur
Nous étudions tous les deux l’animation, alors le concours Crous a été une opportunité pour nous deux de nous en éloigner un peu et d’expérimenter la prise de vue continue, tout en gardant une part d’animation dans le projet. Le thème de l’espoir nous a inspiré l’espoir que l’être aimé réciproque nos sentiments. On a voulu parler d’amour et de la difficulté qu’il peut y avoir à l’exprimer. En nous questionnant sur quel type barrière pourrait nuire à la communication, on a pensé à la barrière de la langue entre deux êtres sur des plans d’existence différents. L’univers qui tombe amoureux d’un être humain. Tout ce joue sur la manière qu’aurait l’univers d’exprimer son amour. Plaçant le court-métrage comme une réalité dont il aurait le contrôle et qui le représente, il essaierait de manipuler l’espace pour manifester ses sentiments, fragilisant par la même occasion la stabilité même de l’espace dans lequel évolue la personne qu’il aime. Pour représenter visuellement ces difficultés à communiquer, on a choisi d’utiliser le papier découpé. Cette technique nous a permis de faire changer les choses d’état, tout en gardant leur essence. Travailler en noir et blanc nous as donné un contrôle qui nous permettait de jouer avec les contrastes, les lumières et les ombres. La texture qu’ajoute l’impression de nos images et les contours déchirés détache ses images du reste du film. Si d’abord les gestes de l’univers semblent simples et anodins, remplir un verre ou remplir le frigo, la répétition des interactions vont fragiliser la structure du film, alors que l’univers veut offrir un champ de fleur, il devra se résoudre à une seule pour limiter les dégâts. La fin nous laisse sans réponse de la jeune fille, l’univers espère avoir été compris, mais nous ne connaîtrons pas la réponse.
Film court régional
Thème : Espoirs
1ER PRIX RÉGIONAL – 500 €
Erell GARON et Amin TOUATI
étudiants en 3MADE3 DN des Métiers d’art et du design au lycée Descartes de Cournon d’Auvergne
L’univers m’a offert une fleur
Nous étudions tous les deux l’animation, alors le concours Crous a été une opportunité pour nous deux de nous en éloigner un peu et d’expérimenter la prise de vue continue, tout en gardant une part d’animation dans le projet. Le thème de l’espoir nous a inspiré l’espoir que l’être aimé réciproque nos sentiments. On a voulu parler d’amour et de la difficulté qu’il peut y avoir à l’exprimer. En nous questionnant sur quel type barrière pourrait nuire à la communication, on a pensé à la barrière de la langue entre deux êtres sur des plans d’existence différents. L’univers qui tombe amoureux d’un être humain. Tout ce joue sur la manière qu’aurait l’univers d’exprimer son amour. Plaçant le court-métrage comme une réalité dont il aurait le contrôle et qui le représente, il essaierait de manipuler l’espace pour manifester ses sentiments, fragilisant par la même occasion la stabilité même de l’espace dans lequel évolue la personne qu’il aime. Pour représenter visuellement ces difficultés à communiquer, on a choisi d’utiliser le papier découpé. Cette technique nous a permis de faire changer les choses d’état, tout en gardant leur essence. Travailler en noir et blanc nous as donné un contrôle qui nous permettait de jouer avec les contrastes, les lumières et les ombres. La texture qu’ajoute l’impression de nos images et les contours déchirés détache ses images du reste du film. Si d’abord les gestes de l’univers semblent simples et anodins, remplir un verre ou remplir le frigo, la répétition des interactions vont fragiliser la structure du film, alors que l’univers veut offrir un champ de fleur, il devra se résoudre à une seule pour limiter les dégâts. La fin nous laisse sans réponse de la jeune fille, l’univers espère avoir été compris, mais nous ne connaîtrons pas la réponse.
2E PRIX RÉGIONAL – 300 €
Arnaud BABAYOU
étudiant en 1ère année d’Histoire de l’Art à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne
Les saouls-documentés
L’idée autour des “Saouls-Documentés” est de mettre en avant un débat sans réel fond dans un contexte très particulier, celui d’une soirée, autour de différents personnages. Ce film nous fait plonger dans une soirée où l’espoir, loin de rapprocher, devient un sujet de discorde qui exacerbe les divisions entre les personnages. Le film explore la manière dont un débat apparemment innocent sur l’espoir peut dégénérer en conflit, soulignant l’absurdité de tenter de politiser un sentiment aussi universel. L’intention est de montrer que l’espoir, lorsqu’il est mal interprété ou manipulé comme un outil politique, peut devenir source de division plutôt que d’unité. En capturant l’escalade des tensions entre les personnages, nous mettons en lumière la futilité de débattre de l’appartenance politique de l’espoir dans un contexte social détendu. Le film dépeint une soirée qui se détériore progressivement à mesure que les personnages s’affrontent sur la question de l’espoir. Ce qui commence comme un échange d’idées se transforme en une série de disputes houleuses, révélant les préjugés et les malentendus qui peuvent surgir lorsque des concepts abstraits sont forcés dans des cadres politiques étroits. Ce film se veut être une incitation à la réflexion, où les spectateurs peuvent se voir dans les personnages et leurs luttes, indépendamment de leurs propres convictions politiques. “Les Saouls-documentés” est une critique sociale qui questionne la pertinence de certaines discussions politiques dans nos interactions quotidiennes. Il met en scène la dégradation d’une soirée autrement joyeuse, sabotée par des querelles idéologiques. Le film est un appel à reconnaître et à éviter les pièges de la polarisation, même dans les espaces les plus intimes et informels.
3E PRIX RÉGIONAL – 200 €
Elsa DRUILHET étudiante en 2e année de Master Action culturelle et artistique, Julien CSAK et Sébastien PERELLO, étudiants en 2e année de licence Arts du spectacle à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines à l’Université Clermont Auvergne et Fadi AMEUR étudiant en 2e année de master Sciences du médicament et des produits de santé à l’UFR Sciences pharmaceutiques et biologique à l’Université de Montpellier
La goutte de trop
Quand on parle d’espoirs, on imagine souvent des enjeux forts, quelque chose comme un drame ou une histoire de héros qui sauve des vies. Pour Anna, il s’agit d’espoirs simples de la vie quotidienne comme passer son examen, ou réussir à éviter de se mouiller. La boucle temporelle met Anna dans l’obligation de faire un choix : abandonner ou faire un pas en avant vers son objectif. Elle concrétise le renouvellement d’un espoir, celui de dépasser tous les obstacles pour pouvoir passer son examen. La comédie quant à elle permet un contraste entre le ton et la situation préoccupante du personnage principal, d’autant plus que celle-ci possède pour point faible l’eau. D’ordinaire élément de sérénité, l’eau est cette fois un obstacle aux espoirs d’Anna. Pour raconter son histoire, nous avons opté pour un cadrage mettant en évidence les effets de cette boucle temporelle sur Anna. Les plans serrés et les gros plans laissent voir l’évolution des expressions reflétant ses pensées. Le montage rythmé nous fait sentir l’urgence mais aussi la frustration d’Anna, confrontée aux personnages qui vivant leur vie normalement deviennent soudain des sources de dangers. Ces choix de scénario la réalisation sont le résultat de notre réflexion de groupe. Nous avons tous les quatre mis en commun notre imagination, nos références cinématographiques et nos points de vue à chaque étape du projet pour donner naissance à ce film.
Photo
Thème : Espoirs

1er prix régional · 500 €
Emma Garcia
étudiante en 5e année à l’IFMK Vichy de l’Université Clermont Auvergne
Saudade

2e prix régional · 300 €
Théo Veysseyre
étudiant en 3e année de Licence biologie des organismes et des populations à l’UFR biologie de l’Université Clermont Auvergne
Lumières de Montpeyroux

3e prix régional · 200 €
Mathilda CORDARO
étudiante en 1ère année de Licence études franco-italiennes à l’UFR Langues, Cultures et Communication de l’Université Clermont Auvergne
Message lancé à l’attention de la Mer depuis le musée maritime de La Rochelle
BD
Thème : Espoirs

1er prix régional · 500 €
ÉLISE COILIER
étudiante en 2e année de Licence à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand
Pour sa bande dessinée intitulée Jusqu’où s’envolent les ballons ?

2e prix régional · 300 €
LATIFA GUERSEN
étudiante en 4e année à l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole
Pour sa bande dessinée intitulée Cumulus

3e prix régional · 200 €
JACQUES DUKUZEMUNGU
étudiant en 3e année d’ingénierie informatique à l’ISIMA à l’Aubière
Pour sa bande dessinée intitulée Campagne en détresse
Nouvelle
Thème : Espoirs

1er prix régional · 500 €
ALIX CAGNION
étudiante en Master 2 Littératures et Création à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne
Pour sa nouvelle intitulée Où es-tu en ce moment ?

2e prix régional · 300 €
EDWIGE THOISY
étudiante en 3e année de licence de Géographie à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne
Pour sa nouvelle intitulée Journal de bord (extrait) – Comment naviguer les partiels

3e prix régional · 200 €
VINCENT DRAINS
étudiant en Master 1 Littératures et création à l’UFR Lettres, Culture et Sciences Humaines de l’Université Clermont Auvergne
Pour sa nouvelle intitulée Noyé dans la montagne
Danse avec ton Crous

1er prix régional Danse avec ton Crous · 500 €
Pauline Saut & Zoé Signabout · Performance sur toile

2e prix régional Danse avec ton Crous · 300 €
Juliette · Confusion

3e prix régional Danse avec ton Crous · 200 €
Filante · Moi et la scène
Pulsations

1er prix régional Pulsations · 500 €
Semayi
Amoureuse des mots depuis toujours, Semayi a décidé il y a peu de porter les siens au devant de la scène. Par son écriture et sa musique, elle souhaite panser les blessures et faire vibrer les tripes. Elle écrit, chante et joue parce que cela lui est vital. Il lui est impossible de faire autrement. C’est une absolue nécessité.

2e prix régional Pulsations · 300 €
Lauzie
Lauzie est une jeune artiste actuellement basée à Clermont-Ferrand. Elle prendra son envol dès l’année prochaine vers les lumières de Paris. C’est dans sa chambre qu’elle a commencé à écrire ses inquiétudes et ses peines, autant sociales que personnelles, mais aussi ses joies, sur des prods qui font boum boum signées DFS, son beatmaker. C’est là qu’elle a trouvé sa voi(e/x) : celle de la musique, du rap, des strass, et des paillettes. Elle a fait de sa musique son journal intime, dans lequel elle livre ses trésors les plus intimes, mais aussi son arme la plus précieuse pour exprimer sa colère, dans un style de musique rap aux inspirations électroniques, voire hyperpop. C’est donc avec une voix particulière et autotunée qu’elle crache tout ce qui sommeille là depuis longtemps, sur scène, à Clermont-Ferrand depuis 2 ans, et bientôt, elle l’espère, sur les scènes de la France entière puis du monde entier.

3e prix régional Pulsations · 200 € + Prix Europavox Campus
Foxhole
Depuis 2015, FoxHole enchaîne plus de 80 concerts. D’abord amis lycéens passionnés par le rock, c’est par le biais de groupes comme les Ramones ou The Stooges que le monde du punk rock leur ouvre ses portes, apportant du sens à leurs vies et à leur musique. FoxHole c’est avant tout 4 adolescents perdus qui, en créant une musique sincère, brutale, mélodique et humble trouvent quelque chose qui leur ressemble.
En 2018 ils sortent leur premier EP « Glitters and Napalm », et en décembre 2020 leur premier album « Semper Fi. ». Toujours fidèles à l’esprit DIY et à leurs racines, le jeune groupe continue sans cesse de composer avec sincérité et une vision du monde qui leur est propre.

Prix du public Europavox Campus · 300 €
Lindalë
Lindalë est un groupe de rock aux influences variées. Depuis leur rencontre au lycée, leur groupe est le fruit de leur alchimie et de leur amour pour la musique. Ils sont prêts à vous faire perdre votre souffle dans leur imaginaire sordidement truculent !